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    C'est un iggy, un Lucien, un Higelin.

    C'est un Jorn, un ed, en somme. Pas mal d'autre, aussi, je vais pas faire ma radasse.

     

    C'est un garçon. Avec des doigts et des pieds dans l'ordre. Et d'autre trucs aussi.

     

    Ceci étant dit, comme dans un petit film fait par un type bien, il y a deux gens aimés sous le soleil couchant, dans le jardin de leur maison, sous le vent, les youyous et les sacs en plastique. Pendant que Jane chante de vieux tubes à l'opposé, Ils sont très loin, ils sont heureux. Ils sont devenus de fiers étrangers. Bande sonore.

     

    Il reste tant de chose à faire. Et je n'ai pas encore trouvé de cadeau. Je rêve de monsieur P, c'est récurant. J'ai finis mon deuil depuis assez longtemps pour trouver ça simplement plaisant. J'en redemanderai presque, histoire de.

     

    Et puis il y a cette petite vieille qui a lu les premiers auteurs de SF sur leurs premières éditions. Elle doit avoir cent ans aujourd'hui. Et un turban sur la tête.

     

    Et un avenir à la desproges dans le questionnement. ( théorie )

     


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    Sous une chaleur tropicale, boire du pulco en lisant des déboires externes. Point.

     

    Dans le rayon de vapeur que produit le ventilateur, s'endormir comme un animal mort.

    Point.

     

    Faire visiter un appartement que je ne connais pas, m'en tirer effectivement comme une merde. Point.

     

    Essuyer une petite tempête et finir trempée jusqu'aux os. Point.

     

    Provoquer un scandale et m'en sortir quand même. Point.

     

    Planifier les prochains mois dans la joie. Point.

     

    Les chiens passent, la caravane déclame et sort ses lampions.

    Les vieux amis tombent amoureux d'insouciantes diaboliques, à peine majeures. Mais quand même majeures. Tout est là.

    C'est la crise. En soit. Ou alors le climat.

    L'un dans le coma, l'autre qui s'en va, celui qui construit des maisons, celle qui n'en finit pas d'accoucher, celle qui montre ses photos à la bardot période vichy, et moi et moi, et moi.


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